Mine de rien des fois vous venez 30 fois par jour pour voir si y'a quelque chose de nouveau ici et trop souvent vous tombez sur le même dernier post. Alors là les mains moites, les pieds poites (Almanach Vermot 1934) et les dents serrées d'un énervement orgasmique vous êtes à deux doigts de m'enlever de vos favoris, de ne plus jamais revenir sur ce site minable mais vous ne le faites pas car vous en êtes bien incapables, je vous tiens, vous êtes mon jouet, ma chose je pourrais vous insulter que vous reviendriez quand même la queue entre les jambes, enfin ça dépend des gens ça.
En fait j'écris beaucoup, enfermé dans mon bureau toute la journée, sans relâche, a peine quelques fois par jour frappe-je sur le sol pour que ma bonne vienne me soulager un peu. Où passe donc toute cette production littéraire qui échappe à la blogosphère ? En vérité je vous le dis elle ne passe pas le service qualité. Imaginez vous des textes pires que ceux publiés. Ca fait peur hein !?
Vous avez ainsi échappé récemment :
- à un essai sur ma coiffure, son évolution dans le temps, doutes et études prospectives.
- à un post attaque sur mon bassiste préféré (nan pas Flea, l'autre)
- à un article sur la transformation génétique du poirier pour la résistance au feu bactérien : recherche d'une stratégie associant un transgène efficace et un promoteur induit spécifiquement par les bactéries
- à une recherche sur l'utilité de Dieu via Google
- un post sur mon fan critique et une reprise-adaptation du « chanteur » de Balavoine (avec interprétation !)
(un intrus s'est glissé dans cette liste, sauras-tu le débusquer gentil lecteur ?)